Dans quels plats utiliser l’assemblage du poissonnier ?
Comment utiliser l’assemblage du poissonnier ?
Nos idées recettes pour utiliser l’assemblage du poissonnier dans votre cuisine :
· filets de cabillaud marinés : ajoutez 1 cuillère à soupe d’assemblage du poissonnier sur vos filets avec le jus d’1/2 citron et laissez mariner 1h (retrouvez la recette complète plus bas) ;
· maquereau au citron : ajoutez 1 cuillère à soupe d’assemblage du poissonnier dans vos poissons avec des rondelles de citron avant de les cuire ;
· bouillon de cuisson : saupoudrez 1 cuillère à soupe d’assemblage du poissonnier dans votre eau de cuisson avant d’y pocher vos morceaux de cabillaud ;
· poisson pané : ajoutez 2 cuillères à café d’assemblage du poissonnier dans votre panure ;
· daurade au four : saupoudrez 1 cuillère à café d’assemblage du poissonnier sur votre daurade avant d’enfourner pendant 20 minutes à 220°C.
La recette des filets de cabillaud marinés
Ingrédients
4 filets de cabillaud ;
1 oignon ;
2 cuillères à soupe d’huile d’olive Terre Exotique ;
1 cuillère à soupe d’assemblage du poissonnier Terre Exotique ;
½ citron jaune pressé ;
2 pincées de fleur de sel de l’île de Ré Terre Exotique ;
2 pincées de baie Timur Terre Exotique.
Réalisation
Dans un récipient, placez vos filets et ajoutez l’huile d’olive dessus. Saupoudrez l’assemblage du poissonnier, le jus de citron, le sel et la baie Timur concassée.
Laissez mariner le tout pendant 1h puis faites chauffer votre plancha, mettez-y vos filets et faites-les cuire pendant à peine 5 minutes. Dégustez avec une purée de patates douces à l’ail.
Les arômes de l’assemblage du poissonnier
De cet assemblage se dégage des notes herbacées et anisées se mariant parfaitement avec le poisson ! Ces arômes sont équilibrés par les saveurs résineuses de la baie rose qui donne un côté sucré particulièrement apprécié.
De quoi est composé l’assemblage du poissonnier ?
L’assemblage du poissonnier est composé d’aneth, de persil, de baie rose, de fenouil et de romarin.
L’aneth qui compose ce mélange, de son nom botanique Anethum graveolens fait partie de la famille des Ombellifères, famille également appelée apiacées, qui compte par exemple la coriandre, le cumin, le fenouil ou encore la carotte. Les Ombellifères sont très répandues dans les régions tempérées et poussent sous un climat méditerranéen. La plante d’aneth peut atteindre jusqu’à 70 centimètres de haut, à la saison estivale elle se fleurit d’une couleur jaune et de larges ombrelles semblables à de petits parapluies se forment.
Le persil dont le nom botanique est Petroselinum crispum ou sativum est une plante mesurant entre 30 et 80 centimètres de hauteur. Cette plante aromatique fait également partie de la famille des Ombellifères.
La baie rose est à tort surnommée « poivre rose », mais elle n’appartient pas au genre Piper. Le nom scientifique de la baie rose est Schinus terebinthifolius. La famille botanique à laquelle appartient la baie rose est celle des Anacardiaceae qui compte de nombreux arbres et arbustes comme le sumac, le manguier ou encore l’anacardier qui produit les noix de cajou. Le romarin dont le nom vient du latin « rosmarinus » signifiant rosée de mer est issu d’un arbrisseau nommé Rosmarinus officinalis poussant à l’état sauvage dans tout le bassin méditerranéen.
Le romarin de Crête est cultivé en terrasse, dans le respect de l’agriculture biologique, sur les montagnes et collines qui surplombent la mer. Il est ensuite séché dans des séchoirs traditionnels, ouverts aux vents.
Le fenouil ou Foeniculum vulgare appartient à la famille des Apiacées. Venant d’Europe du sud, ses fleurs jaunes sortent pendant l’été et la plante peut atteindre jusqu’à 2,5 mètres de hauteur.
La cuisine du poisson, 15 000 d’histoire
On sait qu’à la fin du dernier âge de glace, il y a plus de 15 000 ans, les hommes vivaient de chasse, de cueillette et de pêche. Le poisson occupe une place importante dans certaines civilisations depuis des siècles. Il est ainsi le symbole de la religion chrétienne dans le Nouveau Testament. Pourquoi le poisson ? Il représente la multiplication, un élément biblique mais il est aussi l’un des derniers repas que Jésus aurait mangé.
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